Cela me rappelle une des dernières réunions avec des associations aux noms improbables où j'ai compté jusqu'à 6 acronymes dans une phrase de 5 secondes
Comme j'y étais allée en remplacement, je ne connaissais rien au dossier et je me demandais où j'étais tombée.
Je m'ennuyais tellement que j'ai commencé à "feuilleter" mon tél. Là, je suis arrivée sur WhatsApp et j'ai avisé une vidéo de Mab (
)que je n'avais pas regardée. Je baisse le son au maxi (me méfie quand même) et je lance. Il s'agissait de la vidéo du mec avec la boutanche de vin qu'on veut lui piquer.
Vous vous la rappelez ?
Sauf que… Au lieu de baisser le volume, je l'avais mis aux max. Et, dans cette salle d'une bonne
trentaine de personnes, le rire hystérique d'un bébé a jailli de mon tél. L'horreur. Vachement surprise moi-même, j'ai failli le lâcher.
Tout le monde s'est retourné vers moi et s'est marré
La première fois.
Parce que je ne sais pas comment j'ai fait pour arrêter le truc. Mais, dès que j'ai réouvert l'étui, la vidéo est repartie. Totalement stressée, j'ai enfin appuyé sur le bon bouton sous l'œil cette fois très réprobateur de la foule. Par terre, c'était du carrelage mais je suis sûre que j'ai commencé à creuser pour disparaître.
J'ai collé le téléphone au plus profond de mon sac et c'est à ce moment-là que quelqu'un a choisi de m'appeler.
J'avais bien coupé le son média
Pas celui d'appel.
Et comme j'ai un sac à main toujours bien rangé, je ne retrouvais plus l'émetteur de la musique entraînante qui me sert de sonnerie.
Le gars assis à côté de moi me sort d'un air rogue : "Mais mettez le en mode silencieux !!!"
…. "J'essaye, Monsieur, j'essaye !!! "
Ouais. J'ai essayé et même réussi. Et, de retour dans mon sac, le vibreur s'est déclenché pour me prévenir qu'on m'avait appelée
A fond le vibreur.
Hypocritement, je me suis dit qu'il allait s'arrêter très vite et j'ai fait (alors que j'avais l'impression de vibrer moi aussi de la tête aux pieds ) comme si rien ne se passait que de très normal.
Pliée en deux sur ma chaise et sur mon sac à main pour tenter d'étouffer cet engin de malheur.
Sans un regard pour le gars d'à côté qui commençait à s'agiter, lui aussi, sur sa chaise
J'ai cru mourir de honte.
Je suis partie discrètement avant la fin de la réunion. Mais je me suis trompée de porte. Je me suis retrouvée dans un long couloir avec des panneaux rouges dans tous les coins : "Réservé au Service".
Il était hors de question que je repasse par la salle de réunion. Donc, j'ai erré un bon moment en ouvrant les portes qui voulaient bien s'ouvrir. A un moment, j'en ai même trouvé une avec un verrou de mon côté. "Entrée interdite" qu'elle me disait la porte qui donnait sur un autre long couloir.
Je ne suis pas entrée, mais j'ai tourné le verrou. Comme ça, personne ne pourrait sortir non plus
Na !
En retournant sur mes pas, j'ai fini par aviser un ascenseur (interdit au public) qui m'a descendue à l'étage de la sortie où je me suis enfin repérée
J'avais oublié de remercier Mabeillounette pour ce partage particulier
Voilà qui est fait
Bonne journée les coupaings
Accueil 
D'ailleurs le doc sera sur mon dos 
? Sans dec, depuis le temps que tu es enquiquinée avec ça 
pitêt des piqûres m'avait prévenu mon chir 
pour faire l'échographie asap Lady Léni, faudrait pas que la boule décide de planter sa tente 
...Je viens de donc de commander "l'étrangleur de Pirita "le numéro 4 après avoir terminé le Glaive du bourreau ( n°1 ) et avoir lu les 2 précédents mais pas dans l'ordre 
...Demain, Mo part pour Rome à 6 h 45 
