Politique: avis, arguments etc... (pas de bagarre sinon je cogne !)

Ben je pense qu'on a bien compris les intérêts de la 5G pendant le confinement .. visio-conférence pour le boulot, pour le médecin, pour les expertises, pour les assurances, pour les mutuelles, pour les notaires ..
Bientôt pour les tribunaux peut-être ?
Dans pas longtemps plus personne ne se déplacera, on t'appellera sur ton smartphone quand le juge aura décidé que c'est le moment pour ton jugement .. tant pis si tu es sur les toilettes à ce moment là.

A quand le kit "coloscopie" USB à bracher sur son PC ?
Non, bon là je déconne ... mais si peu
Aujourd'hui la fiction dépasse de loin la réalité Et j'aime pas çà

Ouais, ok.... mais on fait quoi alors ? On se rebelle et on prend des prunes pour ne pas obéir ?

Le port du masque obligatoire ne met personne en danger, sauf ceux qui se font agresser quand ils osent demander à qqu'un de le mettre

Oui c'est pénible de le porter, mais de là à se mettre hors la loi, c'est un pas que je ne franchirai pas

Quant au reconfinement, ce ne sera jamais comme au mois de mars, la France ne s'en relèverait pas

Ils n'arriveront JAMAIS à être tous d'accord

Oui, plus de gens se testent, donc plus de cas positifs.
On sait que la virulence du virus est sans doute minorée, freinée par l’été la longueur du jour et la chaleur.
Il semble qu’il puisse avoir muté et être plus contagieux mais moins virulent

Mais, mais,...
L’automne va sans doute arriver cette année encore,...
Avec elle les frimas, les brouillards, le temps humide et plus frais, et même sans doute la baisse de la longueur de l’ensoleillement qui représente un lâcher de frein pour la virulence
De plus on aura des réunions non plus dehors mais dedans plus souvent, donc dans une atmosphère confinée, moins ventilée

Bref, il faut sans doute préparer les gens à des changements de comportements parce que le temps va changer
Où est le problème ?
Je ne vois pas

Ce qui est agaçant, c'est la dissonance dans les recommandations

On a tous constaté qu'à présent ce sont plutôt les jeunes qui sont touchés sans développer de formes graves..est-ce qu'il faut pour autant baisser la garde
Effectivement, il faut attendre de voir comment le virus va évoluer cet automne, avec le retour de l'humidité, le retour des activités en intérieur, etc....

Je ne comprends pas bien le discours de ce monsieur, quel est son but Nous dire que nous sommes des moutons, qu'on nous manipule..Ok...dans quel but ...vendre des masques

Je ne comprends pas vous devez entendre des choses que personnellement mon oreille est incapable de discerner.

Jamais il ne parle du masque ni pour le décrier ni pour le louer. Il dit que la communication du gouvernement et du conseil scientifique n'est basé que sur une seule donnée et de plus la moins importante compte tenu des dépistages qui sont pratiqués aujourd'hui.

Mais quelle est la finalité de cette prise de parole publique ?
Mis à part encore plus diviser les français sur un truc qui se passe et que personne ne maitrise ?

On sait les manquements du gouvernement sur les débuts de la pandémie, mais ces manquements étaient mondiaux, personne ne pouvait anticiper un truc pareil...

Et on ne sait toujours pas comment cela va évoluer.....

Que Mr Truc et Mr Machin donnent leurs opinions, chaque fois différentes, et la polémique enfle....

On peut aussi aller jusqu'à la guerre civile puisque chacun pensera qu'il a raison....

On a bien compris le message ..sauf que nous sommes allés plus loin dans notre questionnement..c'est-à-dire...quel est EXACTEMENT le message de ce monsieur ? ...A part à dire que les chiffres participent à une instrumentalisation des foules Imposer d'autres schémas de pensée ...ça veut dire quoi ?

Que ce soit lui ou Raoult, à chaque fois, quand on leur demande si le virus est mort, s'il y aura une autre "vague", ils se dédouanent en disant qu'ils ne savent pas ..et nous, on est là, comme des kons

Tad

Pour moi la phrase clé qui m'interpelle c'est la toute première :

"Nous sommes actuellement dans une utilisation des indicateurs, un changement, une instrumentalisation,qui fait que nous allons avoir pour les semaines à venir, des changements de comportement, des orientations qui sont décidées par un conseil scientifique qui ne regarde plus la réalité du risque, mais qui souhaite probablement imposer d'autres schémas de pensée."

Ici en gerbique, les décisions sont de plus en plus insensées, comme si il fallait à tout prix nous habituer à suivre des règles même si elles n'ont pas de sens, je cite le conseil national de sécurité de hier ...

" La Bulle sociale de 5 personne est maintenue, mais à partir de lundi elle pourra être modifiée toutes les semaines"

Donc, si je résume, on ne pourra toujours fréquenter que 5 personnes de son entourage proche, mais toutes les semaines on pourra en fréquenter 5 autres ? nonsense

Et celle-ci, "les courses pourront de nouveau se faire à nouveau à deux au supermarché, mais uniquement à partir de lundi", c'est vrai qu'il est bien connu que le corona est plus virulent entre le jeudi et le lundi

Je pense personnellement que le réflexe de soumission est devenu tel que les gouvernement sont en train d'obtenir ce dont ils ont toujours rêvé, l'obéissance totale.
Il n'y aura plus de grèves, plus de manifestations, plus de mouvements de révolte ( gilets jaunes, bonnets rouges et j'en passe ) .. un coup de sifflet pavlovien et tout le monde rentrera sagement chez lui.
Je sais que je suis un grand complotiste , et en bon complotiste je ne peux donc conclure que de la même manière que d'habitude, "l'avenir nous l'apprendra".

Bon, maintenant je met mon gilet pare-balles ( jaune ) et j’attends les 11 balles

Tad, j’ai répondu à cet argument. On teste plus, on a plus de cas positifs et ce n’est pas étonnant.
Mais on sait qu’un escalier se balaie par le haut. Et que c’est là qu’il faut prendre les décisions.
Dans quelques temps, les gens vont rentrer de vacances et se mélanger à d’autre gens venant d’ailleurs.
Ceci va créer une nouvelle circulation importante du virus.
Il est fort possible, mais pas certain, que les réa se remplissent à nouveau de malades plus âgés, plus faibles, dont les défenses ne sont pas celles de personnes jeunes revenant de vacances,... et qu’on soit débordés.

En disant ce qu’il sous entend,... que faudrait-il faire ?

On sait que le conseil scientifique n’est pas unanime, qu’il a des avis qui ne sont pas suivis à chaque fois,... c’est le rôle de ces structures d’émettre des avis et d’expliquer leur posture. Ce qu’ils font à mon sens ( pour lire régulièrement ces avis qui sont mesurés).
Par exemple, ils ont souhaité, un temps, différentier les populations personnes âgées ou fragiles des autres. Cet avis a été discuté puis tranché et non suivi. Bien d’autres cas encore existent...

Par exemple encore, l’école.
Il faudrait mettre un masque à tout le monde, mais à partir de quel âge ? Comment fait on dans chaque cas ? Écoles maternelles, primaires et jusqu’à la Fac. ?
Il faudra trancher une décision et l’autre partie dira qu’il aurait fallu faire autrement.

Parfois, quand je vois les français râler et se déchirer je pense aux Américains et aux Brésiliens qui se soignent avec des prières des bons mots, et de l’eau de javel per os parfois.

Je veux bien alimenter une petite polémique (Victor)

Par exemple concernant la Suède

Ou bien sur L’efficacité du confinement

On n’a pas fini de discuter hein le amis ?

"...et que le mécanisme médical expliquant ce pic passe principalement par le stress psychologique et l'isolement social des personnes vulnérables au niveau de leur santé."

C'est bien là que le bât blesse chez moi

Tous les pays n'ont pas réagis de la même façon au covid 19, la Suède à préféré laisser faire, c'est son choix, et je ne veux pas polémiquer sur cela.

Ce que je trouve inacceptable se sont les mensonges que l'on nous à fait et que l'on continue à nous faire.

Le seul indicateur en hausse est le nombre de cas avéré, et cela est normal puisque l'on s'est enfin décidé à testé un maximum de personne.

Les trois autre indicateurs
1 nombre d'hospitalisation
2 nombre de personne sous réa et
3 nombre de mort
sont à la baisse. Bien sur il faut surveiller et prendre les mesures nécessaires, mais il ne faut pas créer une psychose et menacer de remontrance car cela ne fera pas avancé le Schmilblick.

Tu as raison par exemple l’Allemagne Donne l’ensemble des clusters qu’elle connaît

Tad tu dis : Le seul indicateur en hausse est le nombre de cas avéré, et cela est normal puisque l'on s'est enfin décidé à testé un maximum de personne.
Et c’est vrai

Mais si tu regardes les chiffres le nombre de cas positif est décorrélé de la hausse du nombre de tests
Donc si on fait 100 tests de plus mais qu’on trouve 80 personnes de plus alors qu’on en avait 20 par exemple avant, on peut dire qu’il y a un signe

Mais tu as raison, pour l’instant les autres chiffres ne bougent pas
Comme je le disais plus haut certains disent soit le virus a muté vers une forme moins grave, soit le freinage d’été le rend moins dangereux.
On ne sait pas
C’est pour ça qu’il faut rester prudents

Bonsoir à vous, j’ai un peu cherché
Voici quelques graphiques venant de différentes sources
Il y a 7% des lits de réa qui sont occupés par des patients Covid ; certes fin mars c’était 138% !

Le taux de reproduction (R0) s’aggrave lentement, certes mais il s’aggrave




Le nombre de cas en réa et le nombre de décès augmentent lentement eux aussi
Je ne suis pas d’accord avec le professeur de physiologie
Les graphiques qu’il montre dans la vidéo sur BFM sont écrasées Et on ne voit pas cette, encore légère, augmentation. Mais elle existe je crois

Sur celle-ci on peut voir que la courbe du nombre de tests réalisés (en gris) est décorrellée de celle des cas positifs (courbe orange), ils augmentent plus vite que le nombre de tests réalisés.

Tu as raison JC

Il y a une fluctuation de certains paramètres, tantôt ils baissent stagnent ou augmentent, mais cela ne pourrait il pas s’expliquer par les vacances période favorable aux déplacements et aux brassage de population.

Cela veut il dire, qu’à la rentrée lorsque tout le monde (enfin presque) aura retrouvé son quotidien et son train train habituel, il y aura une deuxième vague ? Surtout que tu l’as dit toi même le virus aurait pu muter en une forme moins sévère.

Donc comment expliquer cette psychose que le gouvernement est en train de créer chez les français.
N’est ce pas tout bonnement la preuve que ce gouvernement (celui d’avant n’as pas fait mieux) et son HYPER président ont complètement perdu la main et ferait office de « l’arbre cachant la forêt ». D’ailleurs on peu constater, que depuis un certain temps il se focalise plus sur ce qui se passe en Europe et dans le monde .

C’est tout à fait possible Tad. Je ne sais plus vraiment ce que pense les,gens là haut, ils se sont tellement loupés en termes de communication !
Ils ont peur sans doute que ça reparte. Beaucoup de gens le craignent.
Mais objectivement, personne ne sait l’avenir !
Peut être ce virus va devenir faible après une mutation et l’épidémie va s’éteindre comme cela arrive souvent.
Peut être avons nous atteint un taux de contaminés de horde suffisant et que la population est protégée.
Peut être que le virus attaque plus les jeunes (20-40 ans) Mais n’en voit plus en réa,...
Notre ignorance est grande

Et je comprends qu’ils craignent le futur.
Moi je dirais que eux craignent, que nous on a peur et que la psychose elle vient de cette peur. Mais pas que le gouvernement crée de la psychose.

Olivier Véran répond à BHL

Olivier Véran a ajouté qu’être asymptomatique ne rend évidemment « ni dangereux ni coupable, mais contagieux ». Ainsi, il préconise de « se faire tester », pour « protéger les autres ». « C’est et ça restera le bon réflexe », a-t-il conclu.


Qui c'est qui il n'y a pas si longtemps, disait que cela ne servait à rien de tester tout le monde et qu'il ne fallait aller se faire tester que si l'on avait des symptômes. Je redemande donc, n'aurait on pas du le faire avant de permettre la ruée des vacanciers ?

Oui , bon ...Y'a un moment faut regarder devant car derrière ne sert à rien

Près de 4.900 cas positifs au coronavirus et un seul décès supplémentaire en 24 heures. Les chiffres dévoilés par la DGS dimanche soir confirment la tendance de cette dernière semaine : les contaminations augmentent rapidement. Mais le nombre de décès, en revanche, reste bas et stable, tout comme les hospitalisations en réanimation.

Certains en déduisent que le coronavirus aurait perdu de sa dangerosité. En fait-on trop ? Ou, au contraire, allons-nous regretter dans quelques mois de ne pas avoir tiré des leçons de la première vague ?

Une mutation ?

Plusieurs pistes peuvent éclairer ce décalage entre le nombre de cas et le nombre de morts. Parmi celles-ci, le virus Sars-CoV-2 serait moins virulent. Une hypothèse qui s’appuie notamment sur une étude de chercheurs britannico-américains parue dans la revue scientifique Cell le 2 juillet, laquelle met en avant une mutation du Sars-CoV-2 qui l’aurait rendu plus infectieux. Cela veut-il dire qu’il serait plus contagieux, mais moins virulent ?  Les infectiologues invitent à la plus grande prudence. Tout d’abord parce que ces travaux, en laboratoire, doivent être complétés par d’autres études, notamment sur des êtres vivants. « Ce n’est pas parce qu’un virus mute que ça change fondamentalement les choses en termes de virulence, prévient Mircea Sofonea, maître de conférences en épidémiologie à l’Université de Montpellier. Par ailleurs, les variants [les nouvelles formes du coronavirus observées aujourd’hui] qu’on observe dans cette étude étaient présents depuis plusieurs mois en Europe. Ils ont donc déjà participé à la première vague. Il n’y a pas eu, pendant l’été, une modification du coronavirus qui a changé sa létalité. »

Cette hypothèse ne convainc pas non plus le ministre de la Santé, qui n’a cessé cet été d’appeler à la vigilance et au respect des gestes barrières : « aucun argument scientifique ne vient étayer cette théorie, hélas, a ainsi balayé Olivier Véran dans le JDD. Le Covid qui se propage est le même que celui qui a coûté la vie à 30.000 Français. »

Certains médecins préviennent que la courbe des morts liés au coronavirus risque de rejoindre l’envolée des cas détectés. En effet, beaucoup rappellent que le virus met quelques semaines avant d’envoyer certains patients en réanimation. « Virulence et contagiosité peuvent être décorrélés, car leur expression ne se fait ni dans le même temps (le pic de contagiosité a lieu un jour avant l’expression des symptômes, mais la dégradation de l’état intervient en moyenne trois semaines après les symptômes), ni dans les mêmes organes, puisque la contagiosité est due à une réplication dans le pharynx et la virulence s’exprime dans les poumons », synthétise Mircea Sofonea.
La question des tests

Difficile, donc, de savoir si ces décès bas doivent inviter à la plus grande prudence ou à l’optimisme… Certains pensent que si seul le nombre de cas augmente, c’est tout simplement parce qu’on teste davantage. Il est vrai qu’on est passé de 50.000 tests par jour début juillet à plus de 100.000 au quotidien depuis le 14 août, mais on constate que le taux de positivité (nombre de cas positifs sur 100 personnes testées) atteint 3,4 % le 21 août, contre 1,6 % le 6 août. « Sur les deux dernières semaines en Ile-de-France, on note que le taux de positivité augmente de 42 % alors que le nombre de tests est stable », souligne Jean-Stéphane Dhersin, modélisateur et directeur adjoint scientifique de l’Institut national des sciences mathématiques et de leurs interactions du CNRS. Qui ajoute : « Lors de la première vague, on n’avait pas la capacité de test qu’on a aujourd’hui. Les gens étaient testés uniquement à l’hôpital. A l’époque, les patients atteints du Covid 19 étaient essentiellement âgés. » Il est donc possible que le graphique qu’on lit aujourd’hui se rapproche du schéma hypothétique qu’on aurait eu début mars si on avait pu tester au hasard la population française.
Moins mortelle ?

Pour le moment, donc, rien ne permet d’assurer que le coronavirus  serait moins virulent. Cette deuxième vague potentielle sera-t-elle moins mortelle ? « C’est une autre question », nuance Mircea Sofonea. Qui liste deux pistes de réflexion. Tout d’abord, les soins procurés aux patients se sont améliorés ces derniers mois. « Avec du recul, de l’expérience, des connaissances affinées, des services non saturés actuellement, on prend mieux en charge, avance l’épidémiologiste. On a remarqué que la mortalité enregistrée dans les services de réanimation atteignait 24 % du début de l’épidémie jusqu’à fin avril, et a baissé à 19 % entre le début de l’épidémie et aujourd’hui. Les réanimateurs nous disent qu’ils arrivent davantage à éviter l’intubation. »

Deuxième paramètre à prendre en compte : l’âge des patients. On sait maintenant qu’une grande partie des nouveaux cas sont des jeunes. « La part des 20/40 ans parmi les personnes infectées a augmenté au cours de l’été, alors que la contribution des personnes âgées, plus à risque, a diminué, synthétise l’épidémiologiste. Ce qui a un effet sur la létalité. » Un impact qu’on ne peut imaginer durable qu’à condition que ces personnes infectées ne contaminent pas des personnes âgées ou fragiles… Il faudrait donc, dans les prochains jours, garder un œil sur l’âge des personnes infectées.
Beaucoup d’inconnus dans la période qui s’ouvre

« La semaine dernière, il y a eu autour de 20 décès par jour, c’est autant que le 16 mars, c’est-à-dire la veille du confinement. On n’est pas sur des chiffres ridicules ! Il y a un rebond des cas qui peut se transformer en deuxième vague s’il n’y a pas de changement de la dynamique, soit par une réappropriation collective des gestes barrières, soit par des décisions politiques de reconfinements localisés. Mais sans tomber dans trop de pessimisme non plus. Ce maintien de l’épidémie sous contrôle, il s’est déjà vu en juin : le R0 était alors inférieur à 1 et pourtant, nous étions déconfinés et l’école avait repris. »

Et Mircea Sofonea d’expliquer pourquoi la période qui s’ouvre comporte beaucoup d’inconnus qui interdisent toute prédiction. « La rentrée est risquée du point de vue sanitaire parce qu’il y a beaucoup de brassages avec les retours de congés, la reprise à l’école, les déplacements au travail. Et la saison froide qui favorise les épidémies à cause des regroupements dans des milieux clos et des muqueuses nasales, barrière contre les virus, qui sont moins efficaces quand il fait froid et sec. Autant, les modèles sont relativement performants quand les paramètres sont constants (même mobilité, même température, même précaution sanitaire), autant dès qu’il y a un changement, il est compliqué d’imaginer la suite. »